Plus de 600 sociologues signataires de la pétition reprenant l'appel du 16 octobre, c'est historique.
Pour signer et voir les signataires:
http://5261.lapetition.be/
lundi 9 novembre 2009
l'appel du 16 octobre
Lors de la réunion du 16 octobre à Paris Descartes un appel au renouvellement de la section a été lancé par cinq organisations. E, voici le texte
"La rencontre organisée le 16 octobre 2009 à l’initiative de l’AFS et de l’ASES a permis de prendre toute la mesure de la crise que traverse actuellement la 19 ème section du CNU. De fait cette section ne peut plus fonctionner aujourd’hui alors même que va s’ouvrir la campagne de qualification des MCF et Pr. Il s’agit d’urgence de redonner à la section les moyens d’assurer ses missions. Les organisations soussignées soutiennent les démissionnaires et appellent les membres restants à démissionner immédiatement. Elles demandent au ministère d’examiner avec leur concours les conditions du renouvellement complet de la section. "
Signataires:
AFS
ASES
Snesup
Sgen-CFDT
QSF
"La rencontre organisée le 16 octobre 2009 à l’initiative de l’AFS et de l’ASES a permis de prendre toute la mesure de la crise que traverse actuellement la 19 ème section du CNU. De fait cette section ne peut plus fonctionner aujourd’hui alors même que va s’ouvrir la campagne de qualification des MCF et Pr. Il s’agit d’urgence de redonner à la section les moyens d’assurer ses missions. Les organisations soussignées soutiennent les démissionnaires et appellent les membres restants à démissionner immédiatement. Elles demandent au ministère d’examiner avec leur concours les conditions du renouvellement complet de la section. "
Signataires:
AFS
ASES
Snesup
Sgen-CFDT
QSF
mardi 16 juin 2009
Pourquoi ce blog?
Il s'agit pour l'ASES (Association des sociologues enseignants du supérieur) d'assurer la publicité des décisions de notre section du Conseil national des universités. Une façon de renouer avec une pratique qui avait cours jusqu'en 2007 (dix années d'archives sur le site: http://www.univ-lille1.fr/cnu19/)
Mais nous proposons aussi des principes de fonctionnement qui se justifient d'autant plus que les attributions du CNU sont désormais, avec l'évaluation quadriennale des enseignants-chercheurs prévue par le nouveau décret, considérablement élargies.
Pour en savoir plus sur l'ASES :http://ases-asso.blogspot.com/
(Les commentaires ne sont pas possibles sur ce site. Si vous voulez vous exprimer sur cette initiative, vous pouvez adresser un message à : frederic.neyrat@gmail.com)
Mais nous proposons aussi des principes de fonctionnement qui se justifient d'autant plus que les attributions du CNU sont désormais, avec l'évaluation quadriennale des enseignants-chercheurs prévue par le nouveau décret, considérablement élargies.
Pour en savoir plus sur l'ASES :http://ases-asso.blogspot.com/
(Les commentaires ne sont pas possibles sur ce site. Si vous voulez vous exprimer sur cette initiative, vous pouvez adresser un message à : frederic.neyrat@gmail.com)
Une charte pour le CNU
Les propositions de l’ASES.
L’ASES est soucieuse de garantir la collégialité des décisions concernant « l’évaluation » individuelle des enseignants-chercheurs, de leurs projets et des équipes dans lesquelles ils s’intègrent. Fondée sur l’appréciation de la qualité scientifique des travaux et de leurs apports à la discipline, la délibération entre pairs est la condition de la construction autonome des savoirs et de la qualité du travail universitaire. Elle constitue le meilleur rempart contre toutes les décisions arbitraires.
Depuis plusieurs années, l’ASES souhaite une plus grande transparence des procédures de recrutement et de qualification mises en œuvre par les commissions de spécialistes et par le CNU. Le mouvement actuel, sans précédent, de mobilisation du monde universitaire et de la recherche a rendu possible de nombreux échanges entre collègues appartenant à des disciplines ou à des corps différents. Il ressort de ces fructueux échanges qu’une même structure d’évaluation (CNU, comité national de la recherche scientifique ou commission de spécialistes) peut, selon les disciplines et les périodes historiques, adopter des modes de fonctionnement très variables, plus ou moins satisfaisants au regard des principes énoncés plus haut. La confrontation de ces expériences permet de dégager certaines règles ayant eu pour effet de favoriser l’adoption de pratiques vertueuses.
Face à l’extension programmée des attributions du CNU, et notamment la mise en place d'une évaluation individuelle des enseignants-chercheurs déterminante non seulement pour leur carrière mais aussi pour les conditions d'exercice de leurs activités de recherche, l’ASES préconise l’adoption de l’ensemble des principes suivants par la section 19 du CNU :
Un principe général d’évaluation:
1) Le CNU rejette toute évaluation purement quantitative des dossiers. Les critères bibliométriques (classement des revues, index de citations …) ne peuvent se substituer à l’évaluation de fond des dossiers qui passe par la lecture effective des travaux des candidats. Les ouvrages de recherche, essentiels en sciences sociales, doivent être autant pris en compte que les articles de revues scientifiques.
Une transparence nécessaire :
2) Le CNU s’engage sur un certain nombre de règles déontologiques :
-interdiction à tout membre de rapporter sur un candidat dont il aurait dirigé (ou été membre du jury), la thèse ou l’habilitation, de prendre part au débat et au vote dans le cas de conflits d’intérêts (liens familiaux, conjugaux, de travail).
- interdiction de promouvoir ses membres, élus ou nommés pendant la durée de leur mandat. La durée de celui-ci pourrait, du coup, être raccourcie et/ou limitée.
- affichage des CV des candidats à l’élection sur les listes syndicales, au même titre que leur profession de foi, comme le précise le nouveau décret.
Des moyens pour le CNU :
3) Les tâches constitutives du travail de qualification dont les membres du CNU ont la responsabilité doivent donner lieu à des décharges de service plutôt qu’à une augmentation des indemnités accordées. Par ailleurs, l’ASES s’oppose à toute extension des attributions du CNU qui ne s’accompagnerait pas d’une augmentation significative du nombre de membres élus siégeant dans cette institution.
4) Il apparaît nécessaire de créer un secrétariat scientifique, comme pour les sections du comité national du CNRS. Le secrétaire scientifique élu au sein du collège B, serait l’auxiliaire du président et l’interface entre les enseignants-chercheurs, les laboratoires et la direction du CNU. Le fonctionnement de ce secrétariat suppose, en amont, de la part de la section, une formalisation des critères à l’aune desquels les enseignants-chercheurs, aux différentes étapes de leur carrière, seront jugés ; la rédaction de normes présidant à l’élaboration des rapports d’évaluation, la définition de règles de vote. Le secrétariat scientifique est donc chargé : en amont de la session de collecter les rapports ; pendant le session, de rappeler les consignes et les règles de vote puis, en aval, de relire et de corriger les rapports d’évaluation, de rédiger les compte-rendu des travaux de la section, de suivre les décisions et l’accompagnement des enseignants chercheurs.
Les conditions de l’expertise des dossiers :
5) Les rapports établis doivent obéir à des conditions de forme. Ainsi ils ne peuvent être lapidaires (deux pages au moins pour un rapport d’évaluation sur 4 ans), et doivent être rigoureusement étayés , évaluant les qualités des dossiers par rapport aux critères affichés par la section. Ces rapports seront déposés au secrétariat scientifique de la section, avant l’ouverture des délibérations.
6) Un tableau de synthèse des dossiers sera établi par le secrétariat scientifique et distribué à tous les membres de la section le jour de la délibération.
7) La discussion sur les dossiers présentés devra permettre à la section de s’accorder sur un avis motivé, qui sera mis au vote.
8) En fin de session, seront diffusées les données annuelles permettant de faire le bilan des candidatures et des décisions de qualification et de solliciter, plus ponctuellement, des analyses longitudinales thématiques.
Les principes généraux énoncés ci-dessus sont considérés comme garants d’une véritable collégialité des décisions concernant la carrière des enseignants-chercheurs et doivent s’appliquer à l’ensemble des autres instances évaluatrices existantes (ANR, AERES, comités de sélection, etc.).
Texte adopté à l'unanimité lors de l'assemblée générale de l'ASES réunie à Paris Dauphine le 13 juin 2009.
L’ASES est soucieuse de garantir la collégialité des décisions concernant « l’évaluation » individuelle des enseignants-chercheurs, de leurs projets et des équipes dans lesquelles ils s’intègrent. Fondée sur l’appréciation de la qualité scientifique des travaux et de leurs apports à la discipline, la délibération entre pairs est la condition de la construction autonome des savoirs et de la qualité du travail universitaire. Elle constitue le meilleur rempart contre toutes les décisions arbitraires.
Depuis plusieurs années, l’ASES souhaite une plus grande transparence des procédures de recrutement et de qualification mises en œuvre par les commissions de spécialistes et par le CNU. Le mouvement actuel, sans précédent, de mobilisation du monde universitaire et de la recherche a rendu possible de nombreux échanges entre collègues appartenant à des disciplines ou à des corps différents. Il ressort de ces fructueux échanges qu’une même structure d’évaluation (CNU, comité national de la recherche scientifique ou commission de spécialistes) peut, selon les disciplines et les périodes historiques, adopter des modes de fonctionnement très variables, plus ou moins satisfaisants au regard des principes énoncés plus haut. La confrontation de ces expériences permet de dégager certaines règles ayant eu pour effet de favoriser l’adoption de pratiques vertueuses.
Face à l’extension programmée des attributions du CNU, et notamment la mise en place d'une évaluation individuelle des enseignants-chercheurs déterminante non seulement pour leur carrière mais aussi pour les conditions d'exercice de leurs activités de recherche, l’ASES préconise l’adoption de l’ensemble des principes suivants par la section 19 du CNU :
Un principe général d’évaluation:
1) Le CNU rejette toute évaluation purement quantitative des dossiers. Les critères bibliométriques (classement des revues, index de citations …) ne peuvent se substituer à l’évaluation de fond des dossiers qui passe par la lecture effective des travaux des candidats. Les ouvrages de recherche, essentiels en sciences sociales, doivent être autant pris en compte que les articles de revues scientifiques.
Une transparence nécessaire :
2) Le CNU s’engage sur un certain nombre de règles déontologiques :
-interdiction à tout membre de rapporter sur un candidat dont il aurait dirigé (ou été membre du jury), la thèse ou l’habilitation, de prendre part au débat et au vote dans le cas de conflits d’intérêts (liens familiaux, conjugaux, de travail).
- interdiction de promouvoir ses membres, élus ou nommés pendant la durée de leur mandat. La durée de celui-ci pourrait, du coup, être raccourcie et/ou limitée.
- affichage des CV des candidats à l’élection sur les listes syndicales, au même titre que leur profession de foi, comme le précise le nouveau décret.
Des moyens pour le CNU :
3) Les tâches constitutives du travail de qualification dont les membres du CNU ont la responsabilité doivent donner lieu à des décharges de service plutôt qu’à une augmentation des indemnités accordées. Par ailleurs, l’ASES s’oppose à toute extension des attributions du CNU qui ne s’accompagnerait pas d’une augmentation significative du nombre de membres élus siégeant dans cette institution.
4) Il apparaît nécessaire de créer un secrétariat scientifique, comme pour les sections du comité national du CNRS. Le secrétaire scientifique élu au sein du collège B, serait l’auxiliaire du président et l’interface entre les enseignants-chercheurs, les laboratoires et la direction du CNU. Le fonctionnement de ce secrétariat suppose, en amont, de la part de la section, une formalisation des critères à l’aune desquels les enseignants-chercheurs, aux différentes étapes de leur carrière, seront jugés ; la rédaction de normes présidant à l’élaboration des rapports d’évaluation, la définition de règles de vote. Le secrétariat scientifique est donc chargé : en amont de la session de collecter les rapports ; pendant le session, de rappeler les consignes et les règles de vote puis, en aval, de relire et de corriger les rapports d’évaluation, de rédiger les compte-rendu des travaux de la section, de suivre les décisions et l’accompagnement des enseignants chercheurs.
Les conditions de l’expertise des dossiers :
5) Les rapports établis doivent obéir à des conditions de forme. Ainsi ils ne peuvent être lapidaires (deux pages au moins pour un rapport d’évaluation sur 4 ans), et doivent être rigoureusement étayés , évaluant les qualités des dossiers par rapport aux critères affichés par la section. Ces rapports seront déposés au secrétariat scientifique de la section, avant l’ouverture des délibérations.
6) Un tableau de synthèse des dossiers sera établi par le secrétariat scientifique et distribué à tous les membres de la section le jour de la délibération.
7) La discussion sur les dossiers présentés devra permettre à la section de s’accorder sur un avis motivé, qui sera mis au vote.
8) En fin de session, seront diffusées les données annuelles permettant de faire le bilan des candidatures et des décisions de qualification et de solliciter, plus ponctuellement, des analyses longitudinales thématiques.
Les principes généraux énoncés ci-dessus sont considérés comme garants d’une véritable collégialité des décisions concernant la carrière des enseignants-chercheurs et doivent s’appliquer à l’ensemble des autres instances évaluatrices existantes (ANR, AERES, comités de sélection, etc.).
Texte adopté à l'unanimité lors de l'assemblée générale de l'ASES réunie à Paris Dauphine le 13 juin 2009.
Les promotions 2009
Viennent d'être promus :
MCF hors classe :
Bachet Daniel,
Baumann Michèle,
Dris Orgueilla Nassi,
Lazuech Gilles,
Marcel Jean-Christophe,
Pennec Simone Epouse Cloarec,
Pugeault Catherine,
Simmat Laurence Epouse Durand
PR1 :
A.Bihr,
J.Deniot,
S.Juan,
R.Pfefferkorn,
P.Steiner,
C.Tarot,
S.Trigano
PR Classe exceptionnelle 1 :
G.Ferréol,
P.Tacussel
PR Classe exceptionnelle 2 :
M.Maffesoli
MCF hors classe :
Bachet Daniel,
Baumann Michèle,
Dris Orgueilla Nassi,
Lazuech Gilles,
Marcel Jean-Christophe,
Pennec Simone Epouse Cloarec,
Pugeault Catherine,
Simmat Laurence Epouse Durand
PR1 :
A.Bihr,
J.Deniot,
S.Juan,
R.Pfefferkorn,
P.Steiner,
C.Tarot,
S.Trigano
PR Classe exceptionnelle 1 :
G.Ferréol,
P.Tacussel
PR Classe exceptionnelle 2 :
M.Maffesoli
La composition actuelle du CNU
PROFESSEUR DES UNIVERSITES
Membres élus
M. AIT ABDELMALEK ALI UNIVERSITE RENNES 2
M. BATAILLE Philippe UNIVERSITE DE POITIERS
M. FARRUGIA FRANCIS UNIVERSITE DE BESANCON
M. FERREOL GILLES 1 er vice -
president UNIVERSITE DE BESANCON
M. LEBARON FREDERIC UNIVERSITE D'AMIENS
M. MURARD ERIC NUMA UNIVERSITE PARIS 7 (DENIS
DIDEROT)
M. PFEFFERKORN ROLAND UNIVERSITE STRASBOURG 2 (MARC
BLOCH)
M. STEBE JEAN-MARC UNIVERSITE NANCY 2
M. RENARD JEAN BRUNO UNIVERSITE MONTPELLIER 3
M. SPURK JAN President de
section
UNIVERSITE PARIS 5 (RENE
DESCARTES)
Mme ZAVALA COSIO MARIA UNIVERSITE PARIS 10
Membres nommés
Mme DENIOT JAUCYER
JOELLE UNIVERSITE DE NANTES
M. LAUTIER BRUNO UNIVERSITE PARIS 1 (PANTHEONSORBONNE)
M. MAFFESOLI MICHEL UNIVERSITE PARIS 5 (RENE
DESCARTES)
Mme MESPOULET MARTINE UNIVERSITE DE NANTES
Mme MOUCHTOURIS
ANTIGONE UNIVERSITE DE PERPIGNAN
M. TACUSSEL PATRICK UNIVERSITE MONTPELLIER 3
MAITRE DE CONFERENCES
Membres élus
M. BOUDESSEUL GERARD Assesseur IUFM DE CAEN
Mlle CHARVET MARIE UNIVERSITE DE NANTES
Mme DE VERDALLE LAURE UNIVERSITE VERSAILLES/SAINTQUENTIN
M. DEAUVIEAU JEROME 2 eme vicepresident
UNIVERSITE VERSAILLES/SAINTQUENTIN
Mme FILHON ALEXANDRA UNIVERSITE PARIS 10
Mme LE BORGNE UGUEN
FRANCOISE UNIVERSITE DE BREST
M. MATHIEU-FRITZ
ALEXANDRE UNIVERSITE MARNE LA VALLEE
Mlle MAUNAYE
EMMANUELLE UNIVERSITE DE TOURS
M. MILLET MATHIAS IUFM DE POITIERS
Mlle PUGEAULT CATHERINE UNIVERSITE PARIS 5 (RENE
DESCARTES)
Mlle RUDOLF FLORENCE UNIVERSITE STRASBOURG 2 (MARC
BLOCH)
M. VEDELAGO FRANCOIS UNIVERSITE BORDEAUX 3
Membres nommés
M. BASTIN GILLES IEP DE GRENOBLE
M. BRETON DIDIER UNIVERSITE STRASBOURG 2 (MARC
BLOCH)
Mme BUCAILLE LAETITIA UNIVERSITE BORDEAUX 2
M. DUFOIX STEPHANE UNIVERSITE PARIS 10
Mme ISRAEL LIORA EHESS PARIS
M. LE QUEAU PIERRE UNIVERSITE GRENOBLE 2 (MENDESFRANCE)
Membres élus
M. AIT ABDELMALEK ALI UNIVERSITE RENNES 2
M. BATAILLE Philippe UNIVERSITE DE POITIERS
M. FARRUGIA FRANCIS UNIVERSITE DE BESANCON
M. FERREOL GILLES 1 er vice -
president UNIVERSITE DE BESANCON
M. LEBARON FREDERIC UNIVERSITE D'AMIENS
M. MURARD ERIC NUMA UNIVERSITE PARIS 7 (DENIS
DIDEROT)
M. PFEFFERKORN ROLAND UNIVERSITE STRASBOURG 2 (MARC
BLOCH)
M. STEBE JEAN-MARC UNIVERSITE NANCY 2
M. RENARD JEAN BRUNO UNIVERSITE MONTPELLIER 3
M. SPURK JAN President de
section
UNIVERSITE PARIS 5 (RENE
DESCARTES)
Mme ZAVALA COSIO MARIA UNIVERSITE PARIS 10
Membres nommés
Mme DENIOT JAUCYER
JOELLE UNIVERSITE DE NANTES
M. LAUTIER BRUNO UNIVERSITE PARIS 1 (PANTHEONSORBONNE)
M. MAFFESOLI MICHEL UNIVERSITE PARIS 5 (RENE
DESCARTES)
Mme MESPOULET MARTINE UNIVERSITE DE NANTES
Mme MOUCHTOURIS
ANTIGONE UNIVERSITE DE PERPIGNAN
M. TACUSSEL PATRICK UNIVERSITE MONTPELLIER 3
MAITRE DE CONFERENCES
Membres élus
M. BOUDESSEUL GERARD Assesseur IUFM DE CAEN
Mlle CHARVET MARIE UNIVERSITE DE NANTES
Mme DE VERDALLE LAURE UNIVERSITE VERSAILLES/SAINTQUENTIN
M. DEAUVIEAU JEROME 2 eme vicepresident
UNIVERSITE VERSAILLES/SAINTQUENTIN
Mme FILHON ALEXANDRA UNIVERSITE PARIS 10
Mme LE BORGNE UGUEN
FRANCOISE UNIVERSITE DE BREST
M. MATHIEU-FRITZ
ALEXANDRE UNIVERSITE MARNE LA VALLEE
Mlle MAUNAYE
EMMANUELLE UNIVERSITE DE TOURS
M. MILLET MATHIAS IUFM DE POITIERS
Mlle PUGEAULT CATHERINE UNIVERSITE PARIS 5 (RENE
DESCARTES)
Mlle RUDOLF FLORENCE UNIVERSITE STRASBOURG 2 (MARC
BLOCH)
M. VEDELAGO FRANCOIS UNIVERSITE BORDEAUX 3
Membres nommés
M. BASTIN GILLES IEP DE GRENOBLE
M. BRETON DIDIER UNIVERSITE STRASBOURG 2 (MARC
BLOCH)
Mme BUCAILLE LAETITIA UNIVERSITE BORDEAUX 2
M. DUFOIX STEPHANE UNIVERSITE PARIS 10
Mme ISRAEL LIORA EHESS PARIS
M. LE QUEAU PIERRE UNIVERSITE GRENOBLE 2 (MENDESFRANCE)
Professeurs des universités: qualifications 2009
Sont qualifiés aux fonctions de professeur des universités:
BENARROSH YOLANDE
CALLEDE JEAN PAUL
CONVERT BERNARD
DOMENACH HERVE
DUBEY GERARD
DUBOIS MICHEL
EBERSOLD SERGE
ERIBON DIDIER
FASSIN ERIC
FILLIEULE RENAUD
FRANCOIS PIERRE MAURICE
JEUDY HENRI-PIERRE
KOKOREFF MICHEL
KOZAKAI TOSHIAKI
KUYU CAMILLE
LAVAL CHRISTIAN
LE GOFF JEAN-PIERRE
MARTIN CLAUDE
MATHIEU LILIAN
PICHON PASCALE
RAVON BERTRAND
RAYNAUD DOMINIQUE
REGUER DANIEL
ROUSSEL VIOLAINE
SCHUERKENS ULRIKE
SECA JEAN-MARIE
TAPIE GUY
TIMERA MAHAMET
ZAFFRAN JOEL
BENARROSH YOLANDE
CALLEDE JEAN PAUL
CONVERT BERNARD
DOMENACH HERVE
DUBEY GERARD
DUBOIS MICHEL
EBERSOLD SERGE
ERIBON DIDIER
FASSIN ERIC
FILLIEULE RENAUD
FRANCOIS PIERRE MAURICE
JEUDY HENRI-PIERRE
KOKOREFF MICHEL
KOZAKAI TOSHIAKI
KUYU CAMILLE
LAVAL CHRISTIAN
LE GOFF JEAN-PIERRE
MARTIN CLAUDE
MATHIEU LILIAN
PICHON PASCALE
RAVON BERTRAND
RAYNAUD DOMINIQUE
REGUER DANIEL
ROUSSEL VIOLAINE
SCHUERKENS ULRIKE
SECA JEAN-MARIE
TAPIE GUY
TIMERA MAHAMET
ZAFFRAN JOEL
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